Lors des fortes inondations de l’an dernier, nos équipes ont parfois été confrontées à une situation bien particulière : impossible d’assécher certains bâtiments anciens… car la nappe phréatique était encore trop haute.
Dans ces cas-là, intervenir trop tôt aurait été contre-productif. Tant que l’eau n’est pas totalement évacuée, à l’intérieur comme à l’extérieur, l’assèchement ne peut pas être efficace.
Nous sommes donc revenus 2 ou 3 mois plus tard, lorsque les conditions étaient réunies, pour entamer un assèchement adapté et durable.
Chaque sinistre demande une évaluation précise pour choisir le bon moment et la bonne méthode.